Rapport Marco Polo sur le contenu de l’ordinateur de Hunter Biden
La fonctionnalité iCloud d’Apple et ses capacités étaient particulièrement pertinentes pour le scandale de l’ordinateur portable de Hunter Biden. En règle générale, toute photo prise sur l’iPhone (et l’iPad) de Hunter Biden apparaissait sur son ordinateur portable via l’application iCloud Photos, qui synchronisait automatiquement les photos sur ses appareils.
Du point de vue de Marco Polo, cette fonctionnalité iCloud a fourni des gigaoctets de matériel supplémentaire à étudier, mais elle a également présenté des défis pour établir les “cinq W” de base : qui, quoi, quand, où et pourquoi ?
Par exemple, déterminer quel appareil iPhone appartenait à quel membre de la famille Biden était essentiel, car qui a pris une photo particulière était aussi important que l’image réelle. Exemple concret : les photos sexuellement suggestives de la nièce de Hunter Biden n’ont pas été synchronisées avec son ordinateur portable via iCloud, mais ont plutôt été téléchargées manuellement sur son ordinateur portable lorsqu’il a “sauvegardé” les téléphones de sa nièce et de sa belle-sœur sur son ordinateur portable avec l’outil “Dr. Fone tool”. Ce fait a ouvert de multiples questions : pourquoi la belle-sœur de Hunter Biden avait-elle des photos sexuellement suggestives de sa propre fille sur son iPhone ? Pourquoi Hunter les voulait-il ? Comment n’ont-ils pas été poursuivis pour leur possession ? Avec l’ordinateur portable de Hunter Biden, des réponses à des questions comme celles-ci ont été résolues mais, comme c’est souvent le cas, de nouvelles pistes de recherche ont émergé de ces réponses.
Marco Polo est convaincu que ce rapport suscitera davantage de réponses à ces questions et à bien d’autres.
Le volume de matériel sur l’ordinateur portable de Hunter Biden – des données de localisation de l’iPhone et de l’historique de navigation sur Internet aux baux de location et aux cartes de vérification d’assurance, dans tous les types de fichiers imaginables – a été dissimulé par la presse et par les forces de l’ordre. Ceci est d’autant plus exaspérant.
Les contacts, feuilles de calcul, photos, vidéos, messages et autres fichiers (environ 200 gigaoctets) ont confirmé qu’il n’y avait aucun moyen plausible pour que le matériel ait été falsifié. Peu de temps après la fin de la dissimulation pré-électorale des grands médias, les publications libérales ont commencé à autoriser leurs auteurs à poser des questions de base. Par exemple, Joe Biden a déclaré qu’il n’avait «jamais parlé» avec Hunter de ses entreprises.
Pourquoi, alors, Joe Biden a-t-il rencontré Tony Bobulinski (ancien partenaire commercial de Hunter Biden, qui affirme que Joe Biden était impliqué dans des relations commerciales avec la Chine.) au Beverly Hilton pendant près d’une heure le 5 février 2017 ?
Au lieu de poser des questions simples qui auraient révélé sa complicité, les journalistes grand public ignorent les lanceurs d’alerte et posent des questions sur le softball, ce qui permet à Joe Biden d’éviter facilement le problème.
